Pour Rabaa Al Jouma, Massouma Al-Moubarak est l’un des meilleurs exemples d’une femme de pouvoir koweïtienne: excellente éducation, beaucoup de connaissances, autant de compétences, quelqu’un dont on peut vraiment être fier… Une amie aussi, une personne parfaitement abordable, à qui, avant qu’elle ne devienne ministre, elle avait demandé d’écrire dans son magazine, ce qu’elle a fait pendant deux ans. Elles estiment toutes deux, la rédactrice en chef comme la politicienne, que le travail avec les media est un élément absolument essentiel de la reconnaissance progressive du potentiel et de la place des femmes en politique comme en économie.
Rabaa Al Jouma est elle aussi convaincue qu’il existe un futur pour les femmes du Koweït, en politique comme dans la vie, elles sont très ouvertes, éduquées et elles peuvent beaucoup pour autant qu’on leur en donne l’opportunité, elles savent travailler main dans la main avec les hommes.
«Mais cette liberté nous devons nous battre tous les jours pour l’obtenir. Il ne faut jamais céder. Never surrender.»
La manière dont on peut soutenir ces femmes aujourd’hui, c’est en travaillant avec les media, la presse écrite, la télévision, les organisations de femmes, les meetings, et par les contacts directs.
(ndlr: Barbara Polla est également chroniqueuse pour le magazine Bariq Al Dana)
Publié dans Les Quotidiennes, le 11 janvier 2008
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