Lundi 11 mai, nous sommes sur un péniche, à Neuilly, il fait gris mais le soleil est avec nous, on nous choie, nous caféine, nous nourrit (pommes et salade), nous maquille (Yves Saint Laurent!), nous coiffe, nous photographie, nous chouchoute nous amuse… Nous? La présidente et fondatrice de Caudalie, les mains d’or de Sisley, moi… réunies par Martine Marcowith pour Atmosphères. L’occasion d’écouter entre les lignes comment se fait un journal… papier ou online, Atmosphères ou Quotidiennes… Atmosphères, raconte Martine, littéraire dans l’âme, magicienne des mots, ne tient rien pour acquis. Elle sait que les mots, les images, tout ce qui fait un magazine, pour «porter», pour toucher, se doit d’être incarné. Une incarnation qui passe par les journalistes bien sûr (les chroniqueuses aussi) qui pour écrire, pour faire envie, doivent aimer; qui passe par les lieux, des lieux un peu secrets, comme ce bord de Seine, où l’on a envie de revenir; qui passe par des personnes, vivantes, comme nous, comme vous… Une incarnation des femmes, par les femmes, pour les femmes – et pour les hommes aussi. Alors je rêve, d’une rencontre encore, entre Martine et Adelita, sur une péniche parisienne ou dans une galerie genevoise… Clins d’œil et coups de cœur, à nos rédactrices, que ferions nous sans elles!
Publié dans les Quotidiennes, le 14 mai 2009
jeudi 14 mai 2009
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